Español más a bajo...
J’aurais aimé commencer cette note par des anecdotes marantes sur le Congo ou le Cameroun mais je ne peux m’empêcher de vous faire part de la bien triste nouvelle du décès de Sonia. Sonia c’était une amie de la salsa, celle avec qui je préférais danser, elle avait le don pour me faire croire que je savais danser ;-)
Dans ces moments là on aimerait toujours avoir eu quelques dernières poussières de minutes pour dire à la personne ce qui nous vient du cœur. J’étais malheureusement au congo, ces quelques lignes arriveront je l’espère jusqu’à elle lorsque je les murmure sur les 3 accords de guitare que je connais .
Une fois de plus ca me rappelle qu’il faut savoir apprécier chaque moment intensément, il n’y a pas de temps à gaspiller… Carpe diem !
Africa…
Le meilleur comme le pire et pas dans la nuance. L’Afrique se meurt de ses maux dans un volcan de vie. Sonia aussi débordait de vie. Un sourire robuste à toute épreuve. Toujours à donner son meilleur et à danser la salsa de tout son cœur.
Africa, Africa…
Aujourd’hui je verse ces larmes pour tout ce qu’elle aurait du avoir la chance de vivre ; 20 petites années ce n’est jamais assez. Pour son tout petit à qui le plus difficile reste. Grandir sans sa maman qui lui tient la main, sans pouvoir se construire dans l’étincelle de fierté de ses yeux. Orphelin du destin, j’en veux à la vie pour cette vengeance avec laquelle elle se joue de joue de nous tous. Et dieu dans tout ca… quelle pathétique illusion !
Africa, Africa…
Ce qui m’abat le plus c’est de réaliser au fil des années que rien ne changera jamais, que de haut que de bas dans ce monde, triste réalité… triste fatalité !
Je n’oublierai jamais les danses que tu m’as accordées, tes sourires qui vont tellement me manquer. Ou que tu sois continues à rayonner, au fond de mon cœur tu seras à jamais…
Me hubiera gustado empezar esta nota con las tonterías que he hecho en Congo y Camerún pero no puedo dejar de anunciarle la bien triste noticia que Sonia dejo esta planeta al empezó de este mes. Sonia era mi salsera preferida porque sabía como hacerme creer que sabía bailar ;-)
En estos momentos siempre hubiéramos gustado tener unos últimos minutos para decir a la persona las palabras que llegan del corazón; lamentablemente yo estaba en Congo. Ojala que las líneas que escribí arriba llegaron hasta ella cuando les murmuro sobre las 3 notas que conozco a la guitarra.
Una vez de más, un recuerdo que hay que saber disfrutar de cada momento en esta planeta, no hay tiempo que gastar... Carpe diem!
~Flo~